Nous avons vu dans cette controverse que trois avis se distinguent. Le premier est le fait de censurer afin de répondre à la désinformation. On a par exemple en acteurs l'état français ou bien les Sleeping Giants. Pour eux, le seul moyen de contrôler les fakes news c'est de faire le tri des informations et d'effacer l'information si elle n'est pas fiable. Le second, est la non-censure pour répondre a la désinformation. On a en acteurs par exemple le SNJ ou bien la Juge Breese Davies. Pour ces acteurs là, on ne peut pas supprimer des informations du moment où ils sont écrit ou prononcé pour protéger la liberté d'expression et la liberté de la presse. Enfin, en troisième les réseaux sociaux abordent une position hésitante en censurant certains contenus relevant de la désinformation tout en essayant de garder un juste milieu entre liberté et les limites à ne pas franchir.

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Ce qui amène à dire que le sujet est difficile à trancher dû au fait qu'on est très encadré entre la liberté d'expression et l’accès a l'information.

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On peut en conclure que bien sûr la censure est nécessaire pour protéger les utilisateurs des réseaux sociaux et les utilisateurs des médias en général. En revanche, elle ne doit en aucun cas être utilisée pour réduire au silence la parole d'autrui, donc atteindre à sa liberté et dissimuler la vérité en la remplaçant par une autre vérité qui arrangerait un pays. On pense notamment à la Chine et à la Russie.

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Dans le futur, sensibiliser davantage les plus jeunes générations au sujet de l'utilisation des réseaux sociaux et des médias tendraient à les rendre plus responsables et donc pour eux de savoir trouver une limite à ne pas franchir entre savoir ce qu'il faut dire/partager et ne pas dire/partager.